bien qu'il ait toujours été gâté par ses parents, ceux ci étaient très souvent absents, en voyage, à cause de leur métier. jules a donc été élevé par ses oncles et ses tantes. c'est à cette époque qu'il a développé un esprit de compétition assez féroce. (△) contrairement à ce qu'on pourrait penser, il n'a jamais été populaire durant sa scolarité. il était même plutôt le bouc émissaire de ses camarades, qui lui collaient directement l'étiquette de " bourgeois qui pète plus haut que son cul ". à force d'être catalogué comme tel, il a fini par devenir ce qu'on lui reprochait d'être. (△) il vit une relation assez conflictuelle avec lui-même. il se vénère, et en même temps il se déteste. et, non, il n'est pas schizophrène. + il a arrêté l'école dès qu'il en a eu le droit, pour débuter une carrière d'acteur, ce qui fut chose aisée, grâce à la renommée de ses parents. (△) sa voix de contre-ténor lui offrit des rôles dans plusieurs comédies musicales. notamment des reprises. il a tenu le rôle de kenickie dans grease, et celui de satine, dans une version " mâle " de moulin rouge. mais ces deux rôles furent seulement ses plus remarqués sur broadway. en effet, il commença à travailler avec un metteur en scène français, adepte de voltaire et de molière, pour qui il tint les rôles principaux de deux pièces. des adaptations musicales, toutes deux, de zadig et de candide. si les pièces ne se classèrent pas dans la rubrique " comédies musicales cultes ", elles permirent à jules de se faire un nom dans le milieu, et de ramasser quelques bonnes critiques, également. (△) il n'avait jamais eu de petit-ami, avant il y a peu de temps ( une relation qui a finalement pris fin. ). il préférait satisfaire ses désirs en couchant à droite à gauche. (△) il a eu un problème avec l'héroïne. mais son père a trouvé le moyen de lui payer les meilleurs traitements, et il ne touche plus à la poudre blanche aujourd'hui. en revanche, il fume, et ça lui arrive de prendre des anti-dépresseurs, même si il n'a jamais eu aucun problème de dépression. mais, juste, ces merdes détendent tellement. (△) il n'aime pas vraiment chanter, n'étant pas à l'aise avec sa voix. mais son agent ne lui laisse pas le choix ( tâtez la rime ). il a d'ailleurs sorti un album, the one who knew too much, qui a encore augmenté sa renommée. il était d'ailleurs en train de travailler sur un second disque, the one who didn't know enough, mais a préféré mettre ce projet entre parenthèses. (△) il a cinq chats. balkis, patchouli, berlioz, figaro et World of Eternity and Ecstasy for Drama ( il a appelé la pauvre bête de la sorte simplement pour la surnommer weed. il a cherché pendant des lustres pour trouver ce nom. ) (△) il a la fâcheuse de se teindre les cheveux de toutes les couleurs possibles. actuellement, il est passé par blond, brun, châtain, roux, bleu, rouge, rose, violet. sans compter les tie & die, les mèches, et tout le bazar. (△) il déteste ne pas avoir raison. en réalité, il n'admettra jamais avoir tort, même si il sait qu'il n'a pas raison. un idiot, quoi. (△) il est accro au chocolat. et au café aussi. mais en général, il n'a pas le droit d'en prendre parce que ça le rend surexcité. (△) il a un tatouage sur l'omoplate gauche, où on peut lire sarc△sm. il compte s'en faire d'autres, par la suite, mais préfère réfléchir pleinement à ce qu'il pourrait se faire tatouer. (△) il a une culture littéraire, musicale et cinématographique assez impressionnante pour quelqu'un qui a arrêté l'école si jeune. (△) il croit au paranormal. il est donc assez peureux sur tout ce qui concerne les histoires de fantômes. (△) il a compris qu'il était homosexuel à quatorze ans, en colonie de vacances. il devait embrasser un garçon pour un défi, et ce premier baiser lui a fait énormément d'effet. après y avoir réfléchi quelques temps, il a compris que les garçons en général l'attiraient bien plus que les filles. (△) les seules " personnes " à qui il dit " je t'aime " sont ses chats. et encore. seulement à balkis et figaro. (△) il essaie au mieux d'éviter de trop mal se comporter devant les caméras, pour ne pas se donner l'image d'un garçon qui " part en couilles ".